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Paris, 12 novembre 2003 - 15h23 (3)
Cher Anerik,
Je peux pas ne pas le dire. Vous le savez. Vous me forcez à vous le dire avec vos mots qui me font chavirer et vos attentions troublantes.
Alors pour que je patiente un peu mieux, je vous le dis. Virtuellement. Profondément. Mais virtuellement surtout. Sensation étrange, mais délicieuse.
Je t'aime.
Saligaud.
To be continued...
Pour suivre l'intégralité des correspondances : http://lafraise.eklablog.com/mlle-butterfly-c24555504
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